La carbonatation des boissons ajoute de minuscules bulles à une boisson alcoolisée corsée. Certes, le processus imprègne les boissons gazeuses de fizz. Il chatouille la langue des jeunes avec effervescence lorsqu’ils ouvrent une canette de soda. Mais l’effet de carbonatation ajoute également un éclat au vin, une tête dynamique aux grands verres de bière et ajoute généralement un coup de pied aux boissons pour adultes. Voyons comment fonctionnent les carbonateurs.
Démystifier le processus de carbonatation
Il faut un savoir-faire technologique pour piéger d’innombrables bulles de gaz dans un liquide. Le gaz en question est le CO2 (dioxyde de carbone), un milieu dissous dans le vin, les boissons gazeuses et même la bière servie dans votre pub local. En termes d’environnement de production, l’effet de dissolution est obtenu en utilisant une machine à carbonater spéciale. Cet équipement pompe la boisson dans un réservoir sous pression, où la ligne d’injection de gaz de qualité industrielle ajoute du CO2 inerte. Fondamentalement, le vin ou la soude est refroidi, puis le dioxyde de carbone est libéré d’un réservoir de réserve, à quel point les deux fluides se rencontrent dans le réservoir primaire. Le gaz de qualité alimentaire se dissout dans la boisson. Et, comme par magie, le liquide pétillant est prêt à être consommé.
Le Secret est dans Les détails
Il n’y a, bien sûr, aucune magie impliquée, juste de la chimie et de la dynamique des fluides. Plusieurs récipients sous pression sont nécessaires pour que l’ensemble du processus fonctionne correctement. Un récipient de désaérateur élimine l’oxygène dissous. Ensuite, le récipient saturateur est équipé d’un embranchement secondaire. Ce tuyau se connecte au réservoir de CO2. Les variables de pression changent, les vannes tournent et une interface à petites pores distribue le gaz injecté jusqu’à ce qu’il sature la boisson, qu’il s’agisse d’un vin mousseux ou de la plus récente boisson énergisante sur le marché. Au fond, l’excellence du produit est assurée par la création d’un mélange qui associe l’étape de dégazage du fluide à la station de carbonatation. Une phase de diffusion étendue du CO2 se mélange ensuite au liquide sous pression. Les recettes d’une boisson gazeuse sirupeuse ou d’une boisson alcoolisée fermentée sont évidemment gardées secrètes, mais cette recette nécessite vraiment les chambres de saturation comprimées pour que le liquide effervescent soit aussi plein de « morsure » que de saveur.
Lors de l’incorporation d’un effet de carbonatation, une ligne de dosage de dioxyde de carbone est ajoutée à l’équipement de production de boissons. Ce gaz inerte est injecté dans une cuve de saturation. Ce sont ces deux récipients sous pression qui forment le cœur d’un carbonateur. Le travail de prétraitement est accueilli par un étage de désaérateur, un réservoir qui élimine l’oxygène, mais c’est l’effet de gaz saturé qui confère au mélange une effervescence. Naturellement, un mécanisme de diffusion est inséré quelque part dans l’interface aval, car le CO2 injecté doit être correctement diffusé dans le liquide.